Casino de Cayeux sur Mer

Roulette électronique

Notre casino est équipé d’une roulette électronique. Cette table de roulette fonctionne automatiquement, sans croupier.

Choisissez le bon numéro !

Une roulette moderne

La roulette devient électronique…

Pas de croupier

Plus besoin de croupier…

Un max d'adrénaline

Et encore + d’adrénaline !

Comment jouer ?

La roulette se compose d’un cylindre dans lequel sont prévues de petites cases, toutes numérotées de 0 à 36.

La moitié des numéros est noire, l’autre rouge, seul le zéro fait figure d’exception avec sa couleur verte.

Le principe du jeu est très simple, on lance une bille dans le cylindre et le joueur doit miser sur la case dans laquelle cette bille s’arrêtera, s’il a raison, c’est gagné, sinon, la mise est perdue !

Selon les envies, les joueurs peuvent choisir de miser sur plus ou moins de numéros.

Par exemple, il est possible de jouer sur un seul numéro en posant la mise « en plein« . Si le risque est élevé, le gain aussi… puisque le joueur pourra récupérer 36 fois (35 + 1) sa mise de départ !

On peut également jouer sur deux numéros côte à côté, « à cheval« , sur trois numéros sur une même ligne, « transversale« , sur quatre numéros, un « carré« , sur six numéros, un « sixain« , ou enfin sur une douzaine ou sur une colonne.

Tous ces choix se font en posant sa mise sur un endroit précis du tapis numéroté. Bien évidemment, plus l’on « étale » » sa mise sur plusieurs numéros, et plus on a de chance de gagner !

Pour équilibrer les chances, le multiplicateur de gain diminue au fur et à mesure.

Pour les moins téméraires existent également les « chances simples » : elles portent ce nom car il s’agit, à chaque tour, de miser sur toute une moitié des numéros.

On choisit alors de miser sur tous les numéros noirs, sur tous les numéros pairs, sur tous les numéros supérieurs à 18… en étant payé une fois sa mise.

Dans ce cas, attention au 0 ! Car toutes les chances simples perdent la moitié de leur valeur immédiatement…

L’intérêt de la roulette électronique est qu’elle est dotée d’une cylindre automatique et d’un tapis virtuel. Chaque joueur peut ainsi jouer comme il l’entend (dans la limite des mini et maxi de la table !).

Tous les joueurs reçoivent leurs gains sans avoir à attendre qu’un croupier glisse vers eux une pile de jetons, donnant au jeu de la roulette encore plus de sensations et d’adrénaline.

Mises et zones de la roulette électronique

Tableau de paiement

  • Mise sur un numéro (plein) : 35 fois la mise
  • Mise sur deux numéros (cheval : exemple : 7-10) → 17 fois la mise
  • Mise sur trois numéros (transversale dite aussi « transversale pleine » : exemple : 7-8-9) → 11 fois la mise
  • Mise sur quatre numéros (carré : exemple : 25-26-28-29) → 8 fois la mise
  • Mise sur six numéros (sixain : exemple : 13-14-15-16-17-18) → 5 fois la mise
  • Mise sur une chance simple, soit dix-huit numéros (Noir/Rouge – Pair/Impair – Manque/Passe) → 1 fois la mise
  • Manque signifie qu’on mise sur les numéros de 1 à 18
  • Passe signifie qu’on mise sur les numéros de 19 à 36
  • Mise sur douze numéros (douzaine ou colonne : exemple : colonne 1-34 ou douzaine 1-12) → 2 fois la mise.
  • Mise sur vingt-quatre numéros (deux colonnes adjacentes, vingt-quatre premiers (1-24) ou vingt-quatre derniers (13-36), ces mises étant placées à cheval sur les colonnes ou les douzaines) → la moitié de la mise
  • Le zéro fait perdre les mises engagées sur les chances multiples (c’est-à-dire toutes les mises portant sur les numéros, du plein à la douzaine)
  • Les mises jouées sur les chances simples : perdent la moitié de leur valeur (la banque en garde la moitié)
  • Ces gains sont notés hors récupération de la mise initiale. C’est-à-dire que, par exemple, pour une mise à « cheval », on gagne 17 fois la mise + la mise initiale.

Un peu d’histoire…

Peu de personnes le savent, mais la roulette est en réalité un jeu d’origine Italienne.

Apparue au début du XVIIe siècle sous le nom de BIRIBI ou de HOCA, ce n’est qu’en 1716, à Paris, que ce jeu prendra son nom actuel : la Roulette.

Les couleurs, rouge et noir, apparaitront quant à elle à la fin du XVIIIe siècle.